Le blog de l'aventure en famille
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Micro-aventures en famille
Inutile de vous les présenter, grands voyageurs à vélo, la famille Niaudet n’échappe pas à la règle et nous offre à nouveau un joli récit à bicyclette. Après avoir parcouru la Vélodyssée de Morlaix à Nantes, ils continuent leur périple avec leurs 3 enfants, malgré une météo souvent capricieuse, ils nous inspirent au travers de cette très belle aventure en famille !
Pour ce troisième voyage à 5, nous sommes partis pendant les vacances de Pâques, 6 jours. Notre objectif, continuer la Vélodyssée ou l’Eurovélo 1 de Nantes à La Rochelle, soit 400 km en incluant le trajet de la maison et 6 crevaisons !
Organisé en dernière minute (idée mûrie 3 semaines avant et billets de train réservés 3 jours avant le départ), nous avons choisi nos étapes en fonction des logements disponibles sur la Vélodyssée. On dit toujours que la Vendée est un plat pays, ce qui est relativement vrai, mais on oublie de nous rappeler que la côte Atlantique peut être venteuse et que rouler à contre-vent suppose d’avoir la santé et de bons mollets !
Si vous avez suivi nos dernières aventures de Constance à Strasbourg, vous comprendrez mieux pourquoi je commence par ces mots… Forts de nos précédentes expériences, nous avons quitté la maison deux bonnes heures avant le train, en veillant à ne pas nous tromper de gare… Ouste le train de 6h du matin, on avait préféré celui de 13h ! Cap sur Montparnasse, sans encombre particulière, même si c’est toujours un labyrinthe de trouver l’accès vélo et une épreuve de tout charger avec remorque, sacs et enfants.
Bien évidemment, nous devions être séparés dans différents wagons, comme nous avons dû faire la réservation en plusieurs fois pour ne prendre que 2 places vélos pour cinq billets. Une fois tout le monde à bord nous avons pu souffler et sympathiser avec le contrôleur qui a remis des diplômes « Grand Voyageur » aux enfants.
Quel plaisir de revenir à Nantes ! Une ville idéale pour les cyclistes. Il y a même des rampes d’accès pour relier les quais à la sortie. Sur le chemin, Benoit a crevé… Heureusement, ce soir nous dormons chez des amis sportifs, habitués aux challenges, puisqu’il y a un an tout pile, leur fille préparait l’enduroman ! Les cloches sont passées ici, dans leur jardin. Des cocottes qui donneront bien du courage à nos petits loups tout au long du voyage.
Ce matin, après un bon petit déjeuner de rois, nous nous sommes mis en route à 10h. Le temps d’une course au marché des Brévannes, c’était l’idéal pour passer par l’Ile des Machines et montrer aux enfants l’éléphant! Au même moment, seize adolescents Toulousains partaient pour faire 1 000 km, en 10 jours! On se suivra, sans jamais les recroiser.
L’éléphant a effrayé Niels en arrosant sur son chemin. On continue la Vélodyssée par le joli village de pêcheurs de Trementout et ses glycines. La suite est plus pavillonnaire. Avant la Montagne, on passe par dans le parc boisé du Château du Pé, réhabilité en lieu culturel. Avant le bocage, un cycliste nous accompagne et partage un bout de route avec nous. A la retraite, il part à 30 km de là, chercher une salade dans son jardin pour le déjeuner! Il est très étonné de nous voir tous les 5 sur les routes.
Attention ça monte! Un peu avant Pélerin, La Montagne porte bien son nom. A Pélerin, on s’arrête pour pique-niquer. Nous avons rendez-vous à l’aire de jeux d’enfants avec Coline de Cook and Cycle qui boucle ses 2 ans de périples à vélo, autour du monde! C’est amusant de l’avoir suivie tout ce temps dans ses aventures et de la rencontrer ici, sur sa route, à vélo! On ne fera que se croiser, mais déjà, nous nous donnons rendez-vous pour qu’elle puisse intervenir dans ma classe et faire rêver mes jeunes CE2. C’est reparti pour 40 km! On en a déjà parcouru 30. A partir de là, on approche l’estuaire de la Loire. D’ailleurs la Vélodyssée, la Vélo Océan et la Loire à vélo se confondent.
Le chemin est magnifique, verdoyant et fleuri. On compte les vaches dans les prés et cherchons les hérons garde-boeufs, cigognes, ibis et canards sauvages. Sur l’estuaire, il y a beaucoup de pêcheurs. Arrivé a Paimbouef, on a visité Le Jardin Etoilé de la japonaise Kinya Maruyama, créé à l’occasion d’Estuaire 2007. Cet espace de jeu et de vie est l’occasion de faire une pause bien méritée avant de terminer les derniers kilomètres qui nous séparent de Saint-Nazaire et de Saint-Brévin-les-Pins. On voulait couper mais notre gourmandise, en ce lundi de Pâques, a eu raison de nous. Naturellement, on pensait avoir plus de chance pour trouver un peu de pain en ville… du coup on est passé par la promenade, entre les villas aux doux noms de Toi et Moi, les Alouettes… et les pins. Mais point de pain.
Toutes les boulangeries étaient fermées, alors on est ressorti pour gagner notre camping: Les Peupliers entre Saint-Père et Saint-Brévin sauf qu’en voulant éviter la départementale et les voitures, on s’est embarqué sur un chemin absolument non carrossable et tout boueux… Le genre de raccourci où il faut s’y prendre à 6 fois pour pouvoir passer les vélos, les enfants, la carriole et remonter en selle, les chaussures crottées. Il nous aura fallu 30 minutes pour passer là où Google Map pronostiquait 3 minutes… J’aime autant vous dire que nous n’étions pas mécontents d’arriver enfin! 70km au compteur, une bonne journée ! On a savouré nos pâtes et notre purée de fraises… et encore plus notre oreiller.
Le mobile home c’est bien pratique, surtout quand il pleut la nuit: toutes les commodités d’une maison, en modèle réduit. Pendant que je donnais le dernier coup de ménage, Benoit montait le chargement. Les enfants jouaient dehors. On a repris la route cette fois pour Saint-Brévin Océan. Une fois la mini-forêt des Pierres Couchées traversée, on a longé la mer sur la commune de Saint-Michel-Chef-Chef. Au loin on voyait la pointe Saint-Gildas. Il ne nous manquait que le pique-nique, à prendre au vol à la Plaine-sur-Mer, et de l’aspirine pour Benoit qui avait mal à la tête en raison de la lumière et du vent, pour l’atteindre. On a un peu ramé pour se rendre à la pointe, contre le vent. Au bout, le sémaphore est devenu un musée militaire et marin.
Il y a de nombreuses promenades pédestres à faire entre les blockhaus ou sur les rochers, pour pêcher à marée basse. La pluie nous a rattrapé. On ne voyait plus le Pont de Saint-Nazaire tant l’averse était forte. La pause s’est imposée… On s’est mis sous le toit de la capitainerie et on a sorti les mandalas. Au bout d’un moment, nous n’avions plus le choix d’attendre l’accalmie. On est remonté en selle et les gouttelettes ne nous ont plus quitté, jusqu’à notre arrivée. 3 km de plus et nous avons rejoint Préfailles, 10 de plus et nous longions la côte et les maisons de rêve du boulevard de l’Océan de Pornic!
La partie qui précède le château de Barbe Bleue est magnifique. Passé le centre ville, la Vélodyssée reprend de l’autre côté du pont en longeant toujours l’océan puis, se faufile dans des quartiers résidentiels. Par chance, en route, nous avons découvert que des amis ont une maison de vacances à La Bernerie-en-Retz et y sont cette semaine! Ni une ni deux, on lance les invitations avant de nous rendre au supermarché et finissons par nous faire inviter ! On profitera même de la machine à laver !
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Les Petits Baroudeurs, c’est aussi une boutique, où nous testons avec nos enfants tous les produits que nous dénichons avec amour et attention pour vous faciliter l’aventure en famille !
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Ce matin, nous avons du mal à démarrer ! Et pour cause, Niels veut à tout prix monter sur mon vélo – et Anouck, à fortiori, aussi… C’est la crise. Pire, une pièce sur la Thule a lâché. Benoit est contraint de faire une réparation de fortune pour que nous puissions repartir. Un monsieur nous guide pour nous ramener sur le chemin de la Vélodyssée que nous retrouvons en suivant les rails. On passe ensuite le long des marais salants. C’est très sauvage et tout le chemin se poursuit entre aquaculture et ostréiculture.
Les tracteurs remontent les bateaux à huîtres. Le jeu, c’est de les compter, au milieu d’un champ d’éoliennes qui tournent à plein vent. De notre côté, on lutte contre les rafales. On pensait pouvoir arriver à Barre-les-Monts pour déjeuner, mais on arrive à bout de force, à 13h, à Beauvoir-sur-Mer. Benoit n’a plus que 58% de batterie et la carriole a une roue à plat! On se réfugie sous la halle du village et c’est tant mieux, car on va essuyer 2 belles ondées et même la grêle ! Je gèle, les enfants aussi, mais ils ne disent rien ! On a sorti les balles rebondissantes et ils jouent à cœur joie, sans se préoccuper des aspects pratiques du voyage ! Heureusement le beau temps revient aussi vite qu’il était parti, mais le vent lui, ne s’est pas dégonflé.
On décide de faire les courses à Notre-Dame-des-Monts où un jeune garçon de 10 ans, lui-même en deux roues, est tout surpris de nous voir voyager, en famille ainsi et nous pose plein de questions. J’espère que notre rencontre et d’autres l’inspireront pour l’avenir!
Le gîte de la Sablière au Veux Cerné est sublime. Il y a un âne, un trampoline et une balançoire, des livres, des jeux et même un sèche serviette – pour le plus grand bonheur des enfants!
Il a plu toute la nuit. Heureuse d’avoir préféré le gîte et son confort, à une nuit en tente, d’autant plus qu’un des enfants a fait pipi au lit et que nous commençons la journée par une machine!
On part sur le tard en attendant la fin de l’ondée, RainToday, l’application obligatoire pour ce type de voyage annonce 20 minutes de pluie. En route pour Saint-Jean-de-Mont, dont je garde un bon souvenir pour y avoir passé quelques vacances familiales petite. Avec ce temps, nos ressources s’épuisent. Benoit est obligé d’aller nous acheter une brioche vendéenne pour tenir! Devons-nous en laisser pour les enfants qui dorment ? La promenade continue face à la mer.
Le vent réveille les enfants trop contents de longer la plage immense et de compter les cerfs-volants qui se dessinent net, dans le ciel bleu. Pour déjeuner, nous comptions pique-niquer au square, mais déjà le mauvais temps revient. On se replie sur le bowling de Saint-Hilaire-sur-Mer pour se réchauffer et manger à l’abris. Les enfants sont fascinés et reprennent eux aussi quelques degrés. Il nous reste encore 2h de route pour gagner Brétignolles-sur-Mer. On a pu avancer entre les gouttes jusque Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Nous ne verrons pas de sardiniers ni de criée.
Il fait tard et gris. Nous longeons la côte. Mon amie Eléonore et sa famille sont à l’aquarium des Sables aujourd’hui, tant le temps est maussade et froid. On se retrouvera sur la place du carrousel après avoir posé nos affaires au camping des Gatinelles où nous dormons ce soir en mobile-home. Après quelques galipettes et saut sur le trampoline (décidément), une halte s’impose à la biscuiterie. Anouck et Niels rêvent d’aller sur la plage, mais en attendant, ils feront un tour de sous-marin sur le manège. Il fait un froid de loup et c’est déjà marée haute, mais rien ne nous presse ce soir. On les descend au bord de l’eau. Ces quelques minutes de château de sable, avant que le banc de sable ne disparaisse de sous nos pieds, seront délicieuses.
Nous quittons notre mobile home pour rejoindre la promenade entre les vignes de Brem, la forêt d’Olonnes et l’espace naturel protégé des anciens marais salants du Roc. Le chemin est protégé du vent et des voitures. On y a croisé beaucoup de promeneurs et cyclistes. Nous gagnons les Sables d’Olonnes. Anouck a envie que nous déjeunions au restaurant. Une fois n’est pas coutume, on décide de s’arrêter dans une crêperie sur la promenade George Clémenceau, face à l’océan.
Faire un restaurant prend naturellement plus de temps qu’un déjeuner pris sur le pouce. Nous sommes donc repartis sur les coups de 15h, avec encore beaucoup de kilomètres à parcourir. Nous manquerons le tour de l’Ile Penotte pour prendre le cap de la Tranche-sur-Mer. Après la corniche et le lac de Tanchet, la route devient plus sauvage. La suite de la Vélodyssée se perd entre forêts, les marais de la Guittière à Talmont et pistes cyclables. On a le soleil, du vent aussi, mais c’est très agréable et le revêtement est chouette pour rouler. La voie est à nous! Anouck apprend à compter et Niels chante.
On passe les petits bourgs de Jard-sur-Mer et de Saint-Vincent-sur-Jard où a fini ses jours Le Tigre, comprenez Georges Clémenceau, dans sa maison en bord de mer. Benoit n’a plus beaucoup d’autonomie. Il ne lui reste que 20% pour les 10/15 km qu’il reste à faire. Le chemin passe par la forêt. Je me dis qu’à force d’avancer, on va finir par manquer la sortie de Longeville-sur-Mer ce qui n’est pas faux… dernier détour course, avant de filer au camping ou presque… On aurait pu suivre tout simplement la D93, mais Benoit a proposé un shortcut. J’aurai dû me méfier…
Le chemin passait par le marais seulement voilà, il était tout boueux… et on a perdu 1h, enfants pieds à terre, plein d’énergie pour nous encourager et nous tracer la route pour éviter les flaques. Une voiture ambitieuse s’est même enlisée devant nous, en voulant finalement rebrousser chemin, son pneu s’est embourbé. Finalement mieux valait être en deux-roues. Au bout, il y avait bien la route! On est arrivé au camping vers 19h. Par chance, en nous voyant avec les enfants, le gérant a eu pitié de nous et nous a surclassé dans un plus grand mobile-home! Pendant que nous nous installions, les enfants jouaient dans le bateau pirate. Douche et dîner ont suivi. Il pleut encore cette nuit!
Dernier tour de pédale pour retrouver les copains ! Quelle énergie ils nous donnent! On rattrape La Vélodyssée juste derrière le camping et passons par la forêt. Les couleurs sont belles comme après une ondée. On traverse la Tranche-sur-Mer et le site lagunaire, remarquable et naturel de la Casse de la Belle Henriette, séparé de la mer par une étroite bande de sable. Une superbe aire de jeux nous attend à l’autre bout, à la Faute-sur-Mer avec toboggan, tyrolienne, accro branche… Impossible de résister. Anouck et Niels veulent tout essayer! On remonte en selle pour traverser le pont d’Aiguillon-sur-Mer et prendre la route de la Pointe.
Nous contournons Dive pour rejoindre Saint-Michel-en-Herm où nous avons déjeuné notre pique-nique. Pas un café à l’horizon. Mieux vaut être prévoyant car il n’y avait pas un seul commerce à la ronde. Le détour de 10 km était très beau, mais le vent était contre nous tout du long et nous a achevés. La suite passait par les marais dits « desséchés » du Poitevin. Nous n’avons pas eu à aller jusque Marans, et avons couper par Charron.
Nouveau stop à la pharmacie pour Swann cette fois qui fait de la fièvre depuis hier. On a passé encore 3 villages contre le vent et finalement gagné notre camping a l’Houmeau. Il est 17h. Pour fêter notre arrivée et la fin de notre tour, c’est goûter surprise à coup de pâte à tartiner. Un inventaire rapide et j’entraine Anouck et Niels plonger dans la piscine extérieure, 27°C avec l’indice vent, c’est encore un peu just, mais ça délasse les mollets. Benoit est vidé. Il reste se reposer dans le mobile-home avec Swann.
Notre ami est venu nous récupérer pour dîner tous ensemble. Les enfants sont contents de retrouver des camarades de jeu et des jouets. Les vacances touchent à leur fin. Demain nous reprendrons le train et rentrerons à la maison. Anouck parle déjà de notre prochain voyage à ses côtés, sur son propre deux roues. J’ai l’impression qu’elle a été piquée par le virus du voyage à vélo!
Cet article relate une aventure en famille en mai 2019.
Il fait partie du programme Ambassadeurs où nous invitons des familles baroudeuses à partager leurs expériences avec la communauté des Petits Baroudeurs.
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Voici donc la sélection de notre boutique pour un voyage à vélo :
La famille Niaudet
Moi, c’est Vanessa, lui, c’est Benoit. Mordus de nature, on est tombé amoureux l’un de l’autre grâce à nos passions communes pour la marche, la montagne et la découverte d’autres cultures et de nouveaux horizons. Après avoir bien profité des sentiers à deux, nous sommes rentrés du Cameroun à 3…
D’abord, Anouck, née en 2013, a été de toutes nos excursions, en écharpe, à pied puis à vélo. Elle aime être libre, rêve de traverser un pays à pied, moins arrêter de sucer ses deux doigts.
Deux ans après, Niels est arrivé ! Après la marche, le vélo, l’accrobranche, le ski lui réussit! Le ski aussi, le ski aussi… Il aime passer des heures dans la nature et jardiner, moins le centre aéré.
Deux ans plus tard, c’est Swann qui rejoint la tribu. Le sourire aux lèvres, il a déjà vadrouillé sur les Chemins de Compostelle, puis du Pays Basque à la Galice, pris l’air des Alpes Italiennes et Helvètes avant d’atterrir à Chambéry. Il aime les myrtilles sauvages, moins le soleil – Shame la peau de roux !
Le dernier de la cordée nous a rejoint cet hiver. Grace à notre amour des Alpes et des grands espaces, Sören sera le seul à pouvoir revendiquer son origine savoyarde. Il aime les promenades en portage et cumule déjà bon nombre de kilomètres à son podomètre !
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